Saturday, August 30, 2008

Yoke paint

Encouragé par mes précédents essais et leur résultat plus que satisfaisant, j'ai décidé de tenter la restauration d'un té de fourche par la peinture.

C'est dingue comme les gens ne font pas gaffe à leur peinture. Je sais qu'elle est fragile (surtout la Suzuki en l'occurrence) et qu'il est très facile de la rayer, mais pourquoi insister quand les premières traces apparaissent ? Ca coûte une fortune la peinture !
Le té de fourche, par exemple, se retrouve souvent dans un triste état après un traitement spécial au porte-clef. Voilà donc dans quel état j'ai récupéré un té de fourche de modèle N pour le SV :
Triste, n'est-ce pas ? On voit bien les traces circulaires autour du contacteur ... Et encore, ça c'est après nettoyage. Un bon produit et de l'huile de coude rattrapent quelques traces, mais le plus gros est toujours là.
Pour rattraper ce genre de pièce, il ne reste dans ce cas que deux solutions : le polissage et la peinture. Après ma période polissage (sur le 900 CBR), j'ai opté pour la peinture et un noir mat (de chez Motip)qui devrait suivre avec le guidon que j'ai choisi.
Je vous passe les étapes de préparation et de peinture pour aller tout de suite au résultat.
Celle-là, faudra y faire gaffe maintenant. J'ai retiré la clé de son porte-clé (comme ce que je fais d'ailleurs avec toutes mes motos depuis que je me suis aperçu que je rayais le té de mon Hornet il y a six ans).
Saviez-vous que me même un Joe Bar en mousse peux attaquer votre peinture ? Pas de panique, vous savez maintenant que ça se rattrappe.

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